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International

À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international !

 

Dans une école d’ingénieurs comme l’IPSA, la culture de l’international est fondamentale car les secteurs de l’aéronautique, du spatial et des transports auxquels elle forme ses étudiants sont des secteurs naturellement ouverts sur le monde. Symbolisée par le traditionnel semestre à l’étranger de 4e année, cette culture de l’international peut également se développer à l’occasion des stages en entreprise au fil du cursus ou lors d’un double diplôme réalisé dans une université partenaire parmi la quinzaine que compte l’école dans une dizaine de pays à travers le monde.

 

À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international ! Copyright : Hochschule Bremen

Copyright : Hochschule Bremen

 

Profiter de l’international pour découvrir d’autres univers

Il y a toujours une bonne raison d’effectuer un double diplôme à l’étranger, voire plusieurs. Pour Chiara Monin (promo 2024), c’est d’abord l’envie de mieux maîtriser la langue de Max Planck qui a impulsé son départ pour la Hochschule Bremen. « Je voulais surtout améliorer mon niveau d’allemand car, même si j’en fais depuis petite, je n’avais encore jamais eu l’occasion d’aller en Allemagne et de le pratiquer au quotidien », explique la future ingénieure qui, au sein de l’établissement partenaire, a pu expérimenter un premier semestre entièrement en anglais et un second uniquement dispensé en allemand, mais surtout une autre façon d’apprendre. « Même si l’on mène des projets concrets à l’IPSA, Brême est encore plus axé sur la pratique : le nombre de projets augmente encore car c’est elle qui prime, remarque Chiara. Une autre particularité, ce sont les stages : en Allemagne, les étudiants effectuent très souvent un stage entre deux semestres et pas uniquement à chaque fin d’année scolaire. C’est une approche différente. »

Et bien que beaucoup d’étudiants viennent à Brême dans l’espoir de travailler ensuite dans le spatial – l’université étant réputée en la matière –, ce n’est pas forcément le cas de Chiara : « Je veux davantage travailler dans l’aéronautique et, plus spécifiquement, devenir pilote par la suite. Cependant, si jamais je n’ai finalement pas l’occasion d’embrasser une carrière de pilote, je sais qu’avoir une première expérience internationale en Allemagne pourrait m’être utile pour rebondir ailleurs. En effet, l’Allemagne, c’est aussi Airbus et beaucoup d’autres entreprises importantes de l’aéronautique ! »

 

À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international ! Copyright : Hochschule Bremen

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Le double diplôme à l’international, « un plus sur le CV »

Une autre raison qui revient régulièrement dans la bouche des IPSAliens ayant opté pour un double diplôme à l’étranger, c’est la volonté de se distinguer encore davantage sur le marché de l’emploi. « Un double diplôme, qui plus est à l’international, sera toujours un plus sur le CV, affirme Chiara. Cela permet de se différencier et ce n’est pas négligeable quand on sait qu’il y a quand même beaucoup d’ingénieurs ! » C’est d’ailleurs ce qui a également motivé Emeline d’Escrivan (promo 2023) à sauter le pas et à rejoindre l’université de Salford. « J’ai choisi ce double diplôme pour cela, mais aussi parce que j’aime beaucoup l’international, confie l’étudiante. J’avais adoré mon semestre de 4e année à Riga mais aussi un séjour en Australie quand j’étais beaucoup plus jeune. Je suis toujours partante à l’idée de pouvoir visiter différents pays et d’apprendre d’autres cultures. »

Évidemment, choisir une université à l’international pour préparer son avenir n’est pas la même chose que choisir une destination pour ses vacances. « Même si j’avais plusieurs options, j’ai retenu Salford avant tout pour les cours proposés car c’était ceux qui correspondaient le plus à mon projet professionnel, souligne Emeline qui s’intéresse principalement aux calculs mécaniques par ordinateur. Tant que je me retrouve à faire de l’aérodynamique dans l’aéronautique ou dans d’autres secteurs, ça m’ira ! » Cette logique était celle qui avait aussi conduit Maxime Sabbadini (promo 2023) au Royaume-Uni pour effectuer un double diplôme à l’université de Cranfield dans la mécatronique automobile. « Les industriels du domaine, quand ils voient Cranfield sur un CV, ça leur parle tout de suite, juge le principal intéressé, passionné par le monde la Formule 1. Et si, à l’IPSA, j’appliquais mes nouvelles connaissances avant tout dans l’aéronautique, ce double diplôme me permet de les appliquer dans le domaine de l’automobile qui reste mon objectif principal ! »

 

 

Des projets qui marquent et une expérience qui inspire

Ambitieux et curieux, les futurs ingénieurs de l’IPSA ne manquent généralement jamais une occasion de s’épanouir durant les cours et les projets dans leur université d’accueil. Par exemple, du côté de Brême, Chiara se souvient avec plaisir d’un projet de création d’hélice de A à Z : « Une équipe devait s’occuper de concevoir la pâle la plus aérodynamique possible et l’autre devait travailler sur le hub central. On a dû se débrouiller pour découvrir et maîtriser des logiciels dont je n’avais jamais entendu parler, mais aussi se procurer le bois pour concevoir l’hélice ! » Emeline, elle, confie avoir été particulièrement marquée par un cours demandant de construire un drone de A à Z : « Il a fallu concevoir le design, faire tous les calculs de structure, de l’électronique… C’est important de pouvoir mettre les connaissances acquises en cours directement en application avec un professeur toujours présent pour nous superviser et nous conseiller sur des cas très pratiques ! »

Toutefois, ce qu’Emeline retiendra également de son séjour non loin de Manchester, c’est aussi la vie étudiante. « Mon meilleur souvenir sur place reste le grand tournoi sportif qui a été organisé dans l’université qui voyait toutes les équipes sportives de Salford affronter celles d’autres universités dans une très bonne ambiance, très sympa… D’ailleurs, j’y ai participé en tant que sportive, aux épreuves de natation et de rugby. En rugby, on a même terminé à la deuxième place du tournoi ! Mais la performance était secondaire : l’événement est d’abord axé sur l’idée de se faire plaisir, de rencontrer des gens et de passer du bon temps ! » De quoi lui donner envie de transformer l’essai et de travailler plus tard à l’étranger une fois diplômée ? « Si j’ai des opportunités ou si j’ai à nouveau envie de bouger plus tard, c’est sûr que je n’hésiterai pas ! Cela ne me fait pas peur d’aller ailleurs. Pour moi, l’international représente toujours une bonne expérience dans le sens où cela permet de découvrir d’autres façons de penser et donc d’appréhender autrement les problèmes. Or, avoir plusieurs façons d’appréhender les problèmes, ça permet d’avoir d’autres méthodes pour trouver des solutions en entreprise ou dans la vie de tous les jours ! » Et c’est aussi une bonne définition de ce que doit être un ingénieur.

 

À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international !

Emeline aux couleurs de l’équipe de rugby de l’université de Salford

À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international !

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À l’IPSA, les doubles diplômes se déclinent aussi à l’international !