Et si l’Aéronef du 21e siècle était français ? Une conférence de l’IPSA, le mardi 15 décembre 2015
Ancien ingénieur militaire à la Direction Générale de l’Armement (DGA), Michel Aguilar est à l’initiative de Xplorair, un projet d’aéronef à décollage et atterrissage vertical sans voilure tournante. L’IPSA l’invite dans ses locaux le mardi 15 décembre 2015 à 18 h 30 pour une conférence spécialement dédiée à ce véhicule innovant dont le secret réside dans sa technologie du Thermoréacteur© brevetée et validée expérimentalement. Une véritable rupture dans l’ordre de la propulsion !
Lors de l’événement, Michel Aguilar présentera les performances techniques de son prototype : les gains en consommation à deux chiffres, l’aérostructure ou encore l’application de l’effet Chilowsky pour assurer la propulsion en croisière. Il reviendra également sur les étapes de création et les rencontres qui ont été décisives pour l’aboutissement de son projet.
Conférence « Xplorair/Thermoréacteur : l’Aéronef du 21e siècle ? »
Conférence animée par Michel Aguilar.
Le mardi 15 décembre 2015 dans les locaux de l’IPSA Paris
7-9 rue Maurice Grandcoing
94200 Ivry-sur-Seine
Accès :
Métro 7 (arrêt Mairie d’Ivry)
RER C (arrêt Ivry-sur-Seine)
Bus 125 (arrêt Molière)
Inscriptions (dans la limite des places disponibles) avant le lundi 14 décembre auprès d’Aureline Manac’h par mail ([email protected])
À propos de Michel Aguilar :
De formation ingénieur aéronautique (ISAE/Ensica) et passionné par l’innovation, Michel Aguilar est porté par cette certitude que le progrès technologique peut devenir un puissant vecteur de civilisation, de partage et de paix, et qu’ainsi le Xplorair aurait pour vocation, par corrélation directe, d’élever les consciences. C’est en 1978 qu’il intègre la Direction Générale pour l’Armement (DGA) en tant qu’ingénieur militaire, spécialité aéronautique. Il intervient successivement dans les radars sol, les hélicoptères et les plates-formes volantes. Il s’exerce ensuite au ministère de l’Industrie dans une direction internationale et devient correspondant du Quai d’Orsay pour les transferts de technologie Est-Ouest. Il clôt alors sa « carrière parisienne » après avoir servi au département innovations technologiques. Il regagnera par la suite la DGA et occupera divers postes au Centre d’Essais des Landes de Biscarrosse, jusqu’en 2002. Il se consacre dès lors à l’enseignement des mathématiques & physique (cours particuliers), à l’écriture (sciences humaines), au journalisme scientifique et au projet Xplorair.