La formation dispensée à l’IPSA permet aux jeunes diplômés d’occuper des postes spécifiques dans le domaine de l’aérospatial. L’ouverture aux sciences de l’ingénieur leur offre également l’opportunité d’occuper des fonctions dans d’autres secteurs d’activité (automobile, défense, maritime, énergie…).
Découvrez un article paru dans Aviation et Pilote présentant le parcours d’un diplômé 2018, Jean-Baptiste Bigouin, ingénieur gestion des risques et conformité chez Transavia.
Jean-Baptiste Bigouin (Promo 2018), ingénieur gestion des risques et conformité chez Transavia
AÉROPYRÉNÉES LE PARTENARIAT POUR DEVENIR PILOTE
L’ATPL (Airline Transport Pilot Licence) est la licence européenne de pilotage de plus haut niveau, reconnue internationalement. Cette opportunité de débouché offre aux étudiants de l’IPSA la possibilité de poursuivre une formation de pilote de ligne grâce à son partenariat avec AEROPYRÉNÉES.
Créée il y a 50 ans, AEROPYRÉNÉES est reconnue pour son expérience, pour les 4 000 pilotes qu’elle a formés et pour ses 350 000 heures d’instructions dispensées. C’est l’école qui propose le plus large éventail de formations aéronautiques sur le marché français. Reconnue dans le monde des pilotes, mais aussi de leurs compagnies, elle dispense les différentes étapes de l’ensemble de la formation de pilote de ligne. Découvrez les témoignages de deux diplômés de l’IPSA et du chef instructeur de la formation.
L’ouverture à d’autres secteurs d’activité
La diversité des cursus proposés, associée à une formation en sciences de l’ingénieur permet aux étudiants de bénéficier d’un socle de connaissances généralistes et d’exercer leur expertise dans des secteurs d’activités connexes à l’aéronautique et au spatial, tels que l’automobile, la défense, l’énergie, le maritime, etc.
Ainsi, les étudiants de l’IPSA peuvent s’inscrire dans des activités innovante et créatrices d’emplois tels que la conception de drones, l’intelligence artificielle, l’avion électrique, le big data et l’impression 3D.
95% de la Formule 1 et du sport automobile en général sont très similaires à l’aéronautique, que ce soit les process, les matériaux, les corps de métiers… J’étais passionné par l’aviation, j’étais également passionné par le sport automobile parce que je suis né à côté du Mans, avec les fameuses 24 heures du Mans. Je me suis dit qu’avant de faire carrière dans l’aviation, j’allais essayer de voir ce que je pouvais faire dans le sport automobile.
Eric Boullier, ancien Directeur de la compétition de McLaren Racing, ancien Directeur du Grand Prix de France
